De l’évidence d’être un bon communicant lorsqu’on travaille dans la communication

Quand on choisit de travailler dans la com’, c’est très souvent par envie d’être proche des autres, parce qu’on aime privilégier le contact, et parce qu’on a une certaine (haute ?) idée des relations interpersonnelles.
La communication se travaille à différents niveaux et en premier lieu à l’oral et à l’écrit. Un recruteur qui a un poste à pourvoir dans la com' a donc certaines attentes dans ce domaine.
Pourtant, on a parfois des surprises car il faut croire qu'on peut travailler dans la com' et ne pas faire d'efforts dans sa propre com'.
Un exemple ? Un candidat, à la recherche d’un poste en communication (corporate en plus !) qui nous fait un mail, même pas bonjour, même pas au revoir, et tout juste quelques mots pour expliquer son envoi. Sachant qu’il ne cite même pas son dernier employeur (comme si nous, dont le métier repose avant tout sur la confidentialité, ne savions pas garder un secret), c’est plutôt mal parti pour voir de façon positive ses qualités de communicant non ?
Remarquez, à l’inverse, on a aussi eu une candidate (qu’on ne connaît pas pourtant) qui termine sa lettre de motivation par un fort aimable « gros bisous ».
Alors un petit conseil : soignez votre présentation, relisez votre dossier avant de l'envoyer, faites preuve d'originalité si vous le voulez mais attention à ne pas produire l'effet inverse.